laissons donc la parole arriver et se déposer.
La vraie question est l'enjeu de perte rejoué
qui teinte bien celle à venir par celles du passé.
Assurément, rien n'est à survenir, anticiper
les affres, les manques présents ne peuvent s'ignorer,
et pourtant, quand le pain, le sel une fois partagé,
lien complexe soudé par l'Atemporalité.
Une fois de plus, rien n'est à venir et qui ne soit
déjà là, depuis le tout, l'Autre, ce miroir à soie.
déjà là, depuis le tout, l'Autre, ce miroir à soie.
L'idée d'un recueil avec tes textes.. les fleurs en enfer... éponger les saisons du mal. Je relis plein de fois pour capter, je sens que ça vient.
RépondreSupprimerJ'ai manqué les commentaires ici. Aucune idée pour quoi ? Ce matin, un bouquet de belles surprises. Un jour on se recueillera.
Supprimer